Après ses déboires avec le lobby sioniste en France : Atal à nouveau au centre d’intérêt de nombreux clubs européens

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Après ses déboires avec le lobby sioniste en France : Atal à nouveau au centre d’intérêt de nombreux clubs européens

L’international algérienYoussef Atal fait l’objet de nombreuses convoitises au cours de l’actuel mercato estival, après avoir réussi à retrouver une bonne partie de son potentiel depuis qu’il a rejoint, en février dernier, l’équipe turque Adana Demirspor pour laquelle il a joué la deuxième moitié de la saison dernière, en provenance de l’OGC Nice.

A l’époque, Atal était poussé vers la sortie à cause des problèmes qu’il a connus de la part de la justice française, en raison de son soutien à la cause palestinienne.

Des médias français, ont rapporté ces dernières jours, que de nombreux clubs ont manifesté leur intérêt pour le latéral droit de 28 ans, à l’instar d’Adana Demirspor, qui lui a proposé un contrat de trois ans, mais l’enfant de la Kabylie ne compte pas poursuivre l’aventure dans ce club pour lequel il avait signé pour seulement six mois au cours desquels il a participé à 11 matches, pour un but signé et deux passes décisives.

La même source a ajouté que le club turc de Besiktas est lui aussi intéressé par l’arrivée de Youssef Atal et qu’il s’apprête à lui faire une offre dans les prochains jours en prévision de la succession du Français Valentin Roser, qui avait, à son tour, rejoint cette formation, l’été dernier, à titre de prêt en provenance de Nice.

De son côté, Galatasaray, le champion en titre de la Turquie, place l’international algérien comme deuxième option sur sa liste restreinte, ce qui a suscité un vif intérêt de la part d’Istanbul Basaksehir, qui ne semble pas en mesure de répondre aux exigences du joueur sur le plan financier, alors que le joueur n’est pas emballé à l’idée de rejoindre la formation grecque de l’AEK Athènes, selon la même source.

L’Olympique de Marseille est aussi l’un des clubs qui souhaitent s’offrir les services d’Atal, mais ce dernier ne souhaite pas revenir en France, après les problèmes qu’il a vécus lors de la première partie de l’exercice, lorsqu’il était à Nice, à cause de son soutien pour la cause palestinienne, ce qui lui exposé à des attaques s du lobby sioniste en France.

La suite, tout le monde connaît, puisqu’il a fini par être traduit devant la justice locale, qui l’a condamné à huit mois de prison avec sursis et 45.000 euros d’amende, pour incitation à la haine à caractère ethnique.

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