Alors qu’un consensus a été trouvé autour de l’entraîneur portugais Carlos Queiroz, tout a basculé en l’espace de 24 heures, lorsque l’ancien sélectionneur de l’Égypte a préféré se retirer de la course à la succession de Djamel Belmadi, s’excusant poliment de ne pouvoir donner une suite favorable à la proposition de la FAF.
Selon nos informations, Queiros, qui avait également entrainé la sélection iranienne parvenant à réaliser de bons résultats avec elle, était la priorité du président de la FAF, Walid Sadi, sauf que certaines parties dans l’entourage du football algérien ont en décidé autrement.
En effet, les mêmes sources ont affirmé que le technicien portugais a été ‘’choqué’’ d’apprendre qu’un bruit court à son propos en Algérie, le donnant atteint d’Alzheimer, une rumeur qui a fait le tour des milieux footballistiques nationaux, dépassant même les frontières algériennes jusqu’à parvenir aux oreilles de Queiroz. Ce dernier, qui a piqué une vive colère, s’est alors précipité pour appeler son agent et lui demander de mettre fin aux négociations engagées avec la FAF.
Il a tout de suite compris qu’il était impossible pour lui de travailler dans un milieu malsain, où des personnes ont d’emblée affiché leur opposition à sa venue.
Devant le refus de Queiros, le président de la FAF a changé sa fusille d’épaule pour lorgner l’autre portugais retenus dans sa short liste, en l’occurrence, José Peseiro.
Cependant, le sort de ce dernier avec la sélection nigériane, avec laquelle il vient de perdre la finale de la 34e édition de la CAN au profit de la sélection du pays hôte, la Côte d’Ivoire, n’est pas encore connu.
On laisse même entendre que tout se décidera dans les prochains jours, d’autant plus que le contrat de Peseiro, avec la fédération nigériane, expire en fin février 2024. Rien ne dit d’ailleurs que le technicien portugais ne refuse de rempiler, surtout après avoir vu sa cote flamber au Nigéria, grâce au parcours de premier ordre qu’il a réalisé avec les Super Eagles.
Une hypothèse que le patron du sport roi en Algérie a prise en compte. La preuve, il a également retenu, comme plan ‘’c’’. On fait allusion au Suisso-Bosniaque, Vladimir Petkovic. Alors qui de ces deux techniciens succèdera à Belmadi ? Réponse dans les prochains jours.