Ligue 1 : L’USMA se rapproche du titre de champion d’automne

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L’USMA a réussi à faire infliger à la JSK sa première défaite de la saison, après que les Kabyles eurent réussi à résister l’espace de 12 matchs.

Les Usmistes, qui confortent leur première place au classement de la Ligue 1, sont bien partis pour s’adjuger le titre honorifique de champions d’automne, mais leur objectif premier demeure évidemment le sacre final.




Cependant, leur entraîneur français, Thierry Froger garde les pieds sur terre. «On travaille pour arriver au titre. Il faut faire des résultats à l’extérieur et garder un gros tempo chez nous. Pour l’instant on est en tête depuis trois journées mais le chemin est encore long. Pour gagner un championnat il faut de la régularité. On a encore de gros matches à livrer, un championnat c’est long, il y a plein de choses qui arrivent. Mais la grosse satisfaction, c’est que sans faire de gros matches on arrive à gagner», a déclaré le coach des Rouge et Noir lors de la conférence de presse qui a suivi la partie.

Analysant la partie, qui a suscité la polémique tout au long de la semaine passée à cause de sa date, l’entraîneur a reconnu avoir fait face à une solide équipe kabyle. «Je dirais que c’est une victoire difficile. On est tombé sur une équipe très bien préparée qui a montré son vrai visage durant les 90 minutes. L’avant-match nous a quelque peu pesé.




J’ai eu du mal, notamment en deuxième mi-temps, à reconnaître la maîtrise de mon équipe. On a eu plus de mal en raison de la pression autour de ce match. On a fait plus d’efforts défensif, je pense que ça fait partie des matches où il faut se transcender.», a-t-il expliqué.

Et d’enchaîner : «Il y a eu beaucoup de déchets, un jeu collectif qui n’a pas évolué comme d’habitude. Je pense que 1 à 0, ce n’est pas le minimum, mais on a eu du mal à nous procurer des occasions. L’adversaire nous a beaucoup gênés par sa bonne organisation. On a manqué de maîtrise, donc il faut rectifier ça aussi car j’ai remarqué qu’on avait moins de maîtrise que d’habitude, donc sur ce plan on a encore du pain sur la planche.»

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