Présidence de la FAF : Le retour de Raouraoua se précise

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Présidence de la FAF : Le retour de Raouraoua se précise

Que de bruit court, depuis quelque temps, à propos d’un éventuel retour de Mohamed Raouraoua aux commandes de la FAF à l’occasion de la prochaine assemblée élective, après la prorogation des délais de candidatures jusqu’au 27 août en cours.

Auparavant, on a parlé de trois potentielles candidatures, en tête, Walid Sadi, l’ancien bras droit de Raouraoua en sélection nationale, mais tout risque d’être chamboulé en se référant aux nouvelles donnes.

Les observateurs estiment que la nouvelle décision de la commission d’organisation de l’AGE de la FAF ouvrirait la voie à certains noms n’ayant pas annoncé auparavant leur intention de succéder à Djahid Zefizef, dans un scénario qui semble étrange prédisant une grosse surprise dans les prochains jours, avec le très probable retour de Raouraoua revenir au premier plan pour achever le restant du mandat olympique de la FAF.

L’allongement des délais des candidatures a d’ailleurs conduit à de nombreuses questions et davantage de spéculations dans les milieux du football et des médias sur le scénario attendu au cours des prochains jours, notamment après que certains cercles ont avancé que que Raouraoua aurait été finalement convaincu de la nécessité de revenir sur la scène footballistique nationale, ne serait-ce que pour remettre de l’ordre dans la maison, en attendant de passer le témoin à une autre personne en 2025.

Des sources proches de Raouraoua ont affirmé que ce dernier est désormais convaincu de l’obligation de revenir aux commandes de la FAF, une instance qui a été démolie en six ans.

Trois présidents se sont succédés, dont le premier a dépensé 700 milliards de centimes, mais a laissé des dettes qui dépassent 300 milliard de centimes, et une masse salariale estimée à 70 milliards de centimes, alors que le dernier, lui, a accru le poids des dettes après l’organisation du Championnat d’Afrique des locaux, qui a coûté à la trésorerie de la FAF plus de 220 milliards.

Du coup, il devient impératif au futur président de trouver de nouvelles sources de financement à même d’apurer les dettes colossales de la première instance footballistique nationale et faire face aux prochains challenges de la sélection nationales, en plus de la réorganisation du football local et la réhabilitation du centre technique de Sidi Moussa, le lieu de regroupement des différentes équipes nationales et qui a perdu beaucoup de sa splendeur.

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