Le feuilleton Belaili continue de tenir en haleine les fans du joueur et ceux de la sélection nationale qui souhaitent voir l’enfant d’Oran trouver un point de chute rapidement pour qu’il soit d’attaque pour les prochains challenges des Verts, en tête les éliminatoires du Mondial-2026 qui seront lancées dans quelques semaines.
À ce propos, il ne se passe pas un jour sans que les rumeurs envoient le joueur vers tel ou tel club. On a même annoncé des contacts avancés de Belaili avec quelques formations algériennes, dont le MC Alger et le CR Belouizdad, les seuls dans le pays capables de satisfaire aux exigences financières du joueur.
Mais c’est plutôt la piste turque qui tenait, jusque-là, la corde. Belaili n’attendait d’ailleurs que le départ d’un attaquant égyptien de Trabzonspor pour rejoindre cette formation dont l’offre financière a satisfait le milieu offensif algérien et son manager, qui n’est autre que son papa.
Mais voilà que le feuilleton de l’avenir de l’international algérien prend un nouveau tournant inattendu. Une information venue tout droit de Tunisie change la donne. Selon la radio anglophone tunisienne « Ifm », Belaili semble désormais plus proche d’un retour en Tunisie que de rester en Europe.
Des négociations sont en cours entre le joueur et la direction de son ancien club, l’Espérance Tunis, et un accord pourrait être conclu dans les prochains jours.
L’ES Tunis a proposé un salaire annuel de 600.000 dollars au numéro 10 de l’équipe d’Algérie, tandis que le joueur vise un minimum de 800 000 dollars par an. Les discussions se poursuivent dans l’espoir de parvenir à un compromis le plus rapidement possible.
Il convient de rappeler que Trabzonspor avait fait des concessions suite au refus initial de Belaili concernant leur première offre de 900 000 dollars par an. Le club turc avait alors augmenté son offre à 1,2 million de dollars annuels.
Néanmoins, des sources proches du joueur affirment que Belaili donnerait la priorité à un retour à son ancien club, l’Espérance Tunis, qui l’a relancé après sa suspension, plutôt que de s’exiler du côté de la Turquie.