Pour son second et dernier match de préparation à la CAN-2019, l’Algérie affrontera dimanche soir à Doha, le Mali un des outsiders du tournoi égyptien qui débutera vendredi prochain.
Et si le sélectionneur national, Djamel Belmadi, a concédé à l’ouverture au public du premier match de préparation, pour le second, prévu au stade Al Khalifa, il aura lieu à huis-clos.
Accrochés par le Burundi lors du premier test (1-1), les Verts seront ainsi avide de rendre une meilleure copie, tout en visant la victoire, histoire de se rendre au Caire avec un moral au beau fixe.
Il est vrai que Belmadi répé- tait à qui voulait l’entendre qu’il n’accordait pas trop d’importance au résultat, vu que sa priorité va vers la préparation des matchs officiels de la CAN; il n’en demeure pas moins qu’il ne crachera pas sur une victoire qui aura son importance sur le plan moral.
Cette fois-ci, il sera question de faire face à un adversaire de meilleur calibre. Le Mali, dont le style de jeu ressemble à celui du Sénégal, deuxième adversaire de l’Algérie en Egypte, sera à coup sûr un test des plus bénéfiques pour les coéquipiers du capitaine, Ryad Mahrez, qui devraient montrer un meilleur visage maintenant qu’ils ont commencé à s’acclimater avec les conditions métrologiques très difficile régnant dans la capitale qatarie.
En fait, le choix de Doha pour abriter le stage de l’équipe nationale n’était pas fortuit. Il était question de faire vivre aux joueurs pour une bonne période les mêmes conditions prévalant en Egypte.
Une idée saluée par les camarades de Yacine Brahimi, eux qui ont souvent eu toutes les peines du monde pour bien entamer les précédentes éditions de la messe footballistique continentale en raison du peu de temps qui leur avait été accordé pour s’adapter avec les conditions climatiques très dures marquant les lieux de la compétition.
