Alors que Zetchi a confirmé qu’il ne briguera pas un second mandat : Quel avenir pour Belmadi à la tête les Verts ?

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à présent que le président de la FAF, Kheïreddine Zetchi, a annoncé qu’il ne comptait pas briguer un second mandat aux commandes de la première instance footballistique nationale, certains, dans les milieux de l’équipe nationale commencent à s’interroger, sur l’impact de cette décision sur l’avenir du sélectionneur Djamel Belmadi avec les Verts.

C’est que les deux hommes ont réussi à former un très bon tandem avec le résultat que tout le monde connait, c’est-à-dire une consécration africaine que l’Algérie attendait depuis 1990. C’est que les amoureux de Fennecs croisent d’ores et déjà les doigts, craignant sérieusement que le départ de Zetchi, probablement en mars prochain, ait des répercussions négatives sur le ‘’Club Algérie’’, du moment qu’il pourrait entraineur le départ de Belmadi, surtout si le futur président de la FAF ne partage la même vision des choses avec l’ancien attaquant de Manchester City.




Ce n’est d’ailleurs un secret pour personne : le sélectionneur des Fennecs entretient d’excellentes relations avec Zetchi. On se rappelle que Belmadi était prêt à démissionner lorsque Zetchi avait failli jeter l’éponge après l’incident qui s’était produit au retour de la sélection algérienne du Caire, en se sentant humilié par la présidence de l’état en marge de la cérémonie organisée par l’ex-président de l’état, Abdelkader Bensalah, en l’honneur des coéquipiers de Riyad Mahrez en juillet passé.

À l’époque, et selon un proche de Belmadi, ce dernier était prêt à son tour à partir. «Djamel est aussi venu pour Zetchi, car c’est un dirigeant qui connaît le football et qui le laisse travailler. Si le patron de la FAF s’en va, il y a de fortes chances que le coach suive… », indiquait le proche de Belmadi, cité par le journal L’Équipe.




Le sélectionneur algérien est en effet proche de Zetchi et apprécie sa connaissance du foot ainsi que la liberté qu’il lui laisse, souligne-t-on dans les milieux de l’équipe nationale. Un avis conforté par les propos de Belmadi lui-même lors de l’une de ses conférences de presse animée après la précédente CAN lorsqu’il avait clairement déclaré qu’il était solidaire de Zetchi face aux attaques dont faisait le propriétaire du Paradou AC.




Certes, le contrat de Belmadi avec l’équipe nationale court jusqu’en 2022 avec comme objectif principal la qualification au Mondial de cette même année prévu au Qatar, mais les développements que devrait connaitre la scène footballistique nationale risquent d’être déterminant dans l’avenir du coach national, pensent les observateurs.

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