Djamel Belmadi, nouveau sélectionneur national : « Je suis bien armé pour accomplir cette mission »

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Le nouveau sélectionneur de l’équipe nationale Djamel Belmadi a reconnu qu’il avait besoin de «beaucoup de travail» pour espérer «redresser la barre», soulignant qu’il était prêt à relever le «défi». «

Ce que je sais, c’est que la mission d’entrainer la sélection algérienne n’est pas facile. Il nous faut beaucoup de travail pour redresser la barre. Je suis animé d’une envie de relever ce défi. Et puis rien n’est insurmontable, il suffit d’y croire et d’y travailler avec l’aide et la contribution de tout le monde», a déclaré Belmadi dans un entretien publié dans la nuit de jeudi à vendredi sur le site officiel de la Fédération algérienne de football (FAF).

Belmadi (42 ans) a été désigné à la tête de la sélection, en remplacement de Rabah Madjer, limogé le 24 juin dernier après huit mois de collaboration. Ancien international (20 sélections/ 5 buts), le nouveau coach national s’est dit «fier» de retrouver l’Algérie en tant que technicien.

«En toute honnêteté, je suis animé de la même fierté et joie que quand j’ai porté pour la première fois le maillot de la sélection. La seule différence à présent se situe au niveau de la responsabilité qui est devenue plus grande et plus importante que quand j’étais joueur. Cette nouvelle responsabilité m’honore et me motive», a-t-il ajouté.

Belmadi, qui va s’engager pour un contrat qui s’étalera jusqu’en 2022, a exercé jusque-là son métier d’entraineur uniquement au Qatar, où il a eu ,à diriger la formation de Lekhouiya qui deviendra plus tard Al-Duhaïl après sa fusion avec Al-Jaïsh SC en 2017, remportant plusieurs titres nationaux. Il estime qu’il est assez «armé» pour mener à bien sa mission et assumer sa responsabilité.

«Si je ne le suis pas ou que je sentais qu’il y avait le moindre doute, je n’aurai jamais accepté de m’assoir à la table des négociations. Je pense que je suis bien armé pour accomplir cette mission. J’ai l’expérience qu’il faut, je suis quand même dans le coaching depuis 10 ans. Cela va forcément m’aider dans mes nouvelles fonctions, a-t-il assuré, expliquant que ses idées et celles du président de la FAF Kheireddine Zetchi «convergeaient et qu’une collaboration était possible».

 

1 COMMENTAIRE

  1. bon vent à « Djamel » qui est de ma génération, lui souhaitant toute la réussite en espérant que son caractère parfois « bien trempé » ne lui joue pas de tours

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