Après avoir réussi à s’acquitter de ses dettes extérieures, ce qui lui a permis de bénéficier du feu vert de la FIFA pour recruter des joueurs étrangers, l’ES Sétif n’est finalement pas au bout de ses peines.
En effet, la direction sétifienne, que préside le candidat malheureux des précédentes élections de la FAF, Abdelhakim Serrar, est dans l’obligation de payer pas moins de 20 milliards de centimes, représentant les arriérés des salaires d’anciens joueurs ayant eu gain de cause auprès de la CNRL, pour qualifier ses nouvelles recrues.
En effet, le club phare de la ville d’Aïn El Fouara est toujours interdit de recrutement et ne pourra donc pas qualifier les nouvelles recrues pour le coup d’envoi du championnat de Ligue 1 prévu le 26 août prochain. Cela se passe au moment où le président Serrar, qui a réussi un joli coup cet été en engageant l’ex-sélectionneur d’Egypte, Hossam El Badry, poursuit ses tractations pour renforcer davantage son effectif.