Devenu l’un des meilleurs arrières droits des championnats européens depuis qu’il a rejoint l’OGC Nice la saison passée, le défenseur algérien Youcef Atal, a longtemps été annoncé proche de gros bras du vieux continent.
Ce fut le cas il y a quelques mois quand on a évoqué avec insistance un intérêt de la part de José Mourinho pour l’international algérien ajoutant que l’ancien driver du Real Madrid voudrait faire venir l’enfant de Tizi-Ouzou à Tottenham.
Une piste qui commence néanmoins à s’éloigner du moment qu’aux dernières nouvelles, le coach du club anglais aurait jeté son dévolu sur l’arrière droit du Paris SG, le Belge Thomas Meunier, qu’il espère recruter dès le prochain mercato estival.
Et si Mourinho privilégie la piste de l’international belge c’est parce qu’il n’aura pas d’obstacle pour l’engager du moment que ce joueur sera libre de tout engagement envers son club leader du championnat français, selon la presse spécialisée britannique, justifiant le désir des « Spurs » de s’offrir les services d’un nouvel arrière droit par son intention de vendre le contrat de son international ivoirien, Serge Auriet.
Du coup, l’on est en droit de se demander si Mourinho a fini par lâcher Atal, surtout que ce dernier n’est pas épargné par les blessures.
D’ailleurs, il reste inactif depuis décembre dernier, soit depuis qu’il a contracté une nouvelle méchante blessure au genou et qui l’avait contraint, rappelle-t-on, de passer sur le billard.
Il est actuellement en convalescence, et il devrait être prêt pour la reprise de la compétition suspendue depuis un peu plus d’un mois en raison de la propagation de la pandémie du coronavirus.
Il faut dire que du côté du PSG, l’on prépare à leur tour le départ de Meunier, et si l’on se réfère aussi à la presse française, le directeur sportif du club parisien voit en le joueur algérien la meilleure option pour combler le très probable départ de Meunier en fin de saison.
Selon les observateurs, l’OGC Nice, qui réclamait 30 millions d’euros pour libérer la pépite du Paradou AC sera dans l’obligation de revoir à la baisse ses exigences, surtout après la blessure du joueur et surtout au vu de la conjoncture actuelle prévalant dans le monde entier à cause du coronavirus et dont l’impact devrait être énorme sur le plan financier pour le monde footballistique.