Cinq jours après son élimination en demi-finale de la Ligue des champions africaine, l’ES Sétif s’est incliné à domicile face à un autre Ahli, celui de l’Arabie saoudite en l’occurence (1-0), ce dimanche, pour le compte des seizièmes de finale aller de la Coupe arabe des clubs.
Sous une pluie battante au stade du 8-Mai 1945, Abderrahmane Gharib a inscrit l’unique but de la rencontre à la 57e minute de jeu.
La manche retour aura lieu le 4 décembre prochain en Arabie saoudite.
Rien ne va plus pour Fenerbahçe ! Sur sa pelouse du stade Şükrü Saracoğlu la formation stambouliote a essuyée sa septième défaite de la saison en championnat face à Ankaragücü (3-1), ce dimanche, à l’occasion de la 10e journée de la Süper Lig. Rencontre durant laquelle, l’attaquant algérien Islam Slimani a été expulsé.
Le joueur prêté par Leicester a vu rouge après avoir insulté l’arbitre de la rencontre, qui a accordé un penalty à Ankaragücü pour une faute de Benzia sur un attaquant adverse à la 71e minute de jeu.
Faty (35′), Ozgenç (s.p. 74′) et El Kabir (77′) ont inscrit les trois buts des visiteurs. Les Jaune et Bleu ont sauvé l’honneur en fin de rencontre grâce à un but contre son camp de Ozgenç (89′).
Cette nouvelle défaite a été fatale au coach néerlandais Phillip Cocu, puisque juste après la rencontre, le club stambouliote a annoncé son limogeage dans un communiqué publié sur son site Web.
La formation de Fenerbahçe qui n’a plus gagné en championnat depuis le 16 septembre dernier occupe la 15e place avec neuf points.
Le FC Barcelone a étrillé le Real Madrid 5-1, dimanche dans le clasico du Championnat d’Espagne, enfonçant l’entraîneur madrilène Julen Lopetegui qui pourrait avoir concédé la défaite de trop.
Au Camp Nou, le Barça a marqué par Philippe Coutinho (11e) puis Suarez sur un penalty, concédé par Raphaël Varane (30e). Après la réduction du score de Marcelo (50e), Suarez a enfoncé le clou d’une tête splendide (75e) puis d’un petit ballon piqué au-dessus du gardien (83e), permettant aux Barcelonais de prendre le large en tête de la Liga. Arturo Vidal a clos le score sur une passe d’Ousmane Dembélé (87e).
Ce net succès permet au Barça (1er, 21 pts) de conserver les commandes du classement tout en reléguant à sept longueurs un Real Madrid (9e, 14 pts) en pleine dérive.
L’ASM Oran devrait revenir au stade Habib-Bouakeul pour y accueillir ses adversaires à partir de sa prochaine rencontre à domicile et qui coïncidera avec la réception du RC Kouba comptant pour la 13e journée de la Ligue 2, a appris de la direction de ce club.
Cette décision est dictée par le parcours très mitigé des gars de M’dina-J’dida au stade Ahmed-Zabana où ils ont accueilli leurs adversaires depuis le début de cette saison, a justifié la même source.
Le stade Habib-Bouakeul a rouvert ses portes depuis près de trois semaines après avoir subi d’importants travaux de réaménagement ayant touché, entre autres, sa pelouse synthétique refaite à neuf.
Cette opération a été rendue possible grâce à une enveloppe de 32 millions de dinars allouée par le Fonds de garantie et de solidarité des collectivités locales, rappelle-t-on.
Cependant, malgré la réouverture du jardin préféré des « Asémites », ces derniers ont continué à recevoir au stade Zabana leurs adversaires, et ce, jusqu’à la précédente rencontre à domicile face au WA Tlemcen soldée par une autre contre-performance des Oranais (3-3), un nul ayant sonné le glas de l’entraîneur Mounir Zeghdoud démis de ses fonctions trois mois seulement après son arrivée au club.
L’ASMO, qui reste sur une défaite sur le terrain de nouveau promu, l’ES Magra (2-0), est dirigée provisoirement par le directeur technique des catégories jeunes, Djebbour.
L’équipe, 13e au classement, jouera encore en déplacement lors de la prochaine journée (12e) en rendant visite mercredi à l’USM Annaba.
Il n’est jamais trop tard pour passer à table (quitte à la renverser et faire des vagues, et quelles vagues !) et remettre les choses à leur place. Dire vrai quitte à choquer.
Ce qu’a fait d’ailleurs, sans sourciller et avec un petit sourire en coin, l’ancien entraîneur-sélectionneur des «Verts» dont la sortie médiatique dépasse toutes nos craintes dans un milieu pourri où n’importe qui fait n’importe quoi. Dit n’importe quoi.
Sans prendre de gants, sûr de ses «accusations» (elles sont graves et méritent réponse par qui de droit parce que le public des «Fennecs» en particulier, et l’opinion sportive en général, ont le droit de savoir et nulle intention de notre part de faire un mauvais procès à un technicien dont la particularité est, justement, de n’avoir pas beaucoup parlé avant ce passage à l’«acte») d’un personnage plutôt réservé mais que les derniers événements semblent avoir réveillé.
A l’image d’un volcan longtemps resté en mode «veille». Sans malheureusement mesurer la portée de ses derniers propos en date au retentissement international survenant après que le quotidien sportif français «France Football», emboîtant le pas à la BBC, ait rendu public certaines pratiques en cours dans un football algérien plus que jamais décidé à faire l’évènement par rubriques «faits-divers» internationales loin de soigner une image singulièrement ternie, n’a pas raté l’occasion de son passage (remarqué et remarquable) par les plateaux de la chaine privée algérienne, «Echourouk», de nous faire remonter le temps avec une drôle de confirmation où l’on apprend, c’est l’info ou le scoop de la dernière décennie (on est en 2010 et en Algérie la cinglante, humiliante défaite concédée en demi-finale de la CAN d’Angola, face aux futurs champions égyptiens qui feront mieux que de prendre leur revanche de leur élimination historique d’Oum Dourmane pour le compte du Mondial de la même année en Afrique du Sud, fait toujours débat ), que le verdict de cette importante manche sur la route d’une finale où les Bougherra and Co, qui venaient tout juste de barrer, avec brio et maestria, la route au super favori de l’édition, la Côte d’Ivoire de Drogba et autres «Eléphants» de renom, rêvaient d’un sacre à portée de pieds devant récompenser une génération aux mérites immenses. Neuf longues années donc après un naufrage en règle (un revers de 4-1 qui fera date) et un arbitrage scandaleux portant la griffe du non moins célébrissime et funeste Koffi Kodjia renvoyé depuis (une radiation à vie) aux poubelles de l’histoire pour avoir montré les signes d’une partialité évidente (trois joueurs et non des moindres ont vu rouge côté algérien et il s’agissait du trio Halliche- Belhadj et Chaouchi, soit tout le compartiment défensif, et la suite, pas belle à raconter, tout le monde la connaît), celui qui présidait à l’époque aux destinées de la barre technique, Rabah Saâdane, jette un gros pavé dans la mare aux relents de scandale.
Anomalies et drôle de cadeau !
Un délit qui dépassera largement les frontières et ne devrait pas tarder à entraîneur dans son sillage nombre de commentaires peu amènes pour un football national pataugeant dans les «affaires» de corruption et de combines étalées au grand jour.
Que dit Saâdane et pourquoi ces « révélations» tonitruantes maintenant et pas avant. En son temps, soit à l’arrivée de cette gifle administrée par l’ennemi-intime égyptien et le tollé général soulevé par les millions de fans au pays qui digéreront mal la «correction» ? Tout bonnement que, sur «décision venue d’en haut» (il fallait préciser M. Saâdane et on ne peut malheureusement que vous croire en attendant les clarifications ou mises au point des parties visées à l’origine de ce véritable «traumatisme» que portent d’ailleurs très mal les supporters), le corps arbitral, en concertation avec les responsables des fédérations algérienne et égyptienne, recevait instruction (avec la bénédiction de la Faf de l’époque dirigée alors par le dictateur Hayatou connu pour ses méthodes peu orthodoxes ?), héritait de la mission d’ouvrir le chemin (avec une telle marge au score et pourquoi la partie algérienne, sans se soucier du prestige de sa vitrine, a accepté un tel marché de dupes où elle perdait gros ?) de la victoire finale (le très désiré trophée, jamais aussi près d’Alger depuis le sacre de 1990, prendra finalement la destination du Caire dans la folie populaire que vivront les bords du Nil dans un contexte politique peu favorable- ça rend plus plausible la thèse de Saâdane- au régime Moubarak qui ne survivra pas, au passage, à la pression du peuple et tombera comme un fruit mûr) à des «Pharaons» ravis (les joueurs algériens, précisera- on ne sait pas si leurs adversaires étaient mis au parfum selon Saâdane, ils seront les dindons de cette farce, car ils n’étaient pas au courant d’un tel arrangement, selon ses propos) de l’aubaine et qui fêteront avec fracas leur revanche devant l’adversaire de toujours. Un scénario donc écrit ailleurs que sur le terrain de Luanda dans une opposition truquée. Décidée en coulisses. Gravissime et une couleuvre difficile à digérer.
Qui ne passera pas facilement. Que s’était-il passé un certain 27 janvier 2010 à l’occasion de la messe continentale du ballon rond et à quelques encablures seulement de la Coupe du monde dans le pays de Mandela dans ce match Algérie- Egypte où les «anomalies» n’ont pas manqué ? A commencer, et c’est le point nodal, par cet arbitrage camerounais unique et inique qui précipitera le naufrage de Ziani et les siens renvoyés refaire leurs classes, promenés de bout en bout et comme jamais au cours d’un duel inégal où ils auront été floués.
Avec des «on», on revisite l’Angola
A l’arrivée de laquelle, Saâdane, désolé au plus haut point et se gardant d’en dire plus, résumera ainsi : «Il n’y a pas eu de match de football aujourd’hui. L’arbitre nous a déstabilisés par ses décisions. Il est pour beaucoup dans notre élimination. L’expulsion de Halliche a été planifiée et préméditée.
On a visé notre meilleur défenseur. Malgré le penalty, on a continué à jouer dans le but d’égaliser mais c’était impossible avec un tel arbitrage et trois expulsions qui ont touché toute la défense. Il faut analyser ce qui s’est passé à tête reposée. Nous avons réalisé une bonne CAN. Il y a beaucoup d’enseignements à tirer et il faut continuer à travailler».
Une défaite comme tant d’autres qu’il fallait oublier au plus vite. Pas meilleure manière de se taire (se la fermer serait plus juste) et passer à autre chose en suggérant, à demi-mot, que la sanction obéissait à d’autres motivations. Que l’on sait depuis jeudi soir, le «cheikh» décidant enfin de «soulager» sa conscience et nous révéler que les hautes autorités algériennes ont pris sur eux (c’est la seule lecture à faire) de rendre un service au pouvoir politique égyptien, en place à l’époque et en très mauvaise posture, lui qui faisait face à un bouillonnement sans précédent de la rue locale.
Une «élimination préméditée à 100% (…) Eliminés de la course vers la Coupe du Monde, nos frères Egyptiens avaient besoin de gagner la CAN 2010 pour atténuer la désillusion. Et nous, on allait disputer le Mondial donc on nous a demandé de les laisser passer en finale de la CAN.» Un «on» bien étrange (c’est toujours indéfini et ça arrange) que Saâdane se gardera, entre autres, de désigner de son vrai nom.
Nommément. Non sans mettre un point d’honneur à se dédouaner en assurant ne s’être pas mouillé, encore moins cautionné ni trempé (il faut appeler un chat un chat) dans cette magouille qui le dépasse.
Aussi sûrement (même s’il ne le dit pas) qu’elle dépasse le prédécesseur de Zetchi, le très influent président de la Faf Raouraoua, dont il faudra attendre la réaction lui qui est visé directement.
Avec ce «Moi, j’ai refusé. Je ne voulais pas jouer à ce jeu. Je ne voulais pas que l’histoire retienne que j’ai fait partie d’un marchandage au détriment de l’intérêt de mon pays pour permettre à un autre d’éviter une crise interne», qui ne convainc personne (les révélations venant très tard et ne sont pas dénuées d’arrière-pensées quand bien même on ne peut douter de sa sincérité), sa complaisance quoiqu’il puisse dire ou ajouter, sonnant comme un aveu.
CAF et Pandore
Au final (il faudra creuser encore plus avec des langues qui ne vont pas tarder à se délier soit pour ajouter de l’eau au moulin du driver historique de l’E.N, soit pour le démentir ou le confondre, ça s’annonce d’ores et déjà palpitant, aussi sûrement que ça fera les choux gras de la presse internationale) et du haut de sa «domination» outrageante sur le continent, «Oum Eddounia» ajoutera une 7e étoile à un maillot truffé (il faudra creuser, pourquoi pas et c’est le moment propice maintenant que le poids de l’Egypte semble en perte de vitesse, de ce côté-ci connaissant les us et coutumes prévalant du côté du Caire et de cette si décriée CAF portée sur le jeu des coulisses) de distinctions et écrasant de toute sa «splendeur» le reste des concurrents et des compétitions tant en sélections qu’en équipes de clubs.
La bonne nouvelle toutefois ? On saura, à la bonne heure, que les joueurs algériens (ils n’ont pas été mis au parfum) n’ont «pas levé le pied» et peuvent aujourd’hui oublier ce fâcheux épisode et se dire qu’«ils n’ont pas (merci Saâdane de le préciser) été battus à la régulière.» Une barrière psychologique est tombée. Pour un peu tout le monde.
Y compris l’auteur de ces graves révélations qui vient, bien malgré lui, d’ouvrir les portes de l’enfer pour un football algérien dans le viseur de la Fifa avec toutes ces affaires de corruption reprise par les médias hors frontières.
Une opportunité pour la nouvelle équipe dirigeante de la CAF, menée par le Malgache Ahmad Ahmad de fourrer (elle ne tardera pas à montrer ce dont elle est capable avec deux grands noms en mesure de constituer le parfait exemple) son nez dans ce registre.
Avec des décisions (sanctions ?) que l’on n’ose imaginer pour l’avenir de notre sport-roi qui n’en finit plus de défrayer (dans le mauvais sens) la chronique. Le mot de la fin et même s’il aura des suites que l’on imagine fâcheuse? La Fifa, intraitable (ses statuts sont plus que claires à ce sujet) quand il s’agit de l’immixtion du politique dans le monde du sport, n’a pas pour habitude de rester sans réaction. Attention, danger.
En ouvrant la drôle de boîte (Pandore, qui es-tu et il en connaît le sens?) Saâdane ne savait-il pas où il mettait le doigt et quels dégâts cela produirait inévitablement. Casse garantie. A moins que… A. A.
Le groupe Madar Holding est devenu actionnaire majoritaire du capital social de la SSPA/CR Belouizdad, après avoir acquis 67 % des 75% des actions détenues par le Club sportif amateur (CSA), ont annoncé samedi, les deux parties.
«Le CSA/CRB cède 67% des 75% des actions qu’il détient dans le capital social de la SSPA/CRB à Madar Holding.
La cession de cette quotité des parts sociales permet à Madar Holding la détention de la majorité du capital social et le contrôle de la SSPA/CRB», a indiqué un communiqué des deux parties, dont l’APS détient une copie.
«Conscients de leur responsabilité, Madar Holding et le CSA/CRB s’engagent à conjuguer leurs efforts en leur qualité d’actionnaires afin de redorer le blason du CRB et lui assurer la place qui devrait être la sienne en tant que grand club de football et symbole de plusieurs générations à l’origine de trophées valeureux et de longues séries de victoires», ajoute le document signé par Charaf-eddine Amara, Président-directeur général (P-dg) de Madar Holding et Karim Chettouf, président du CSA/CRB.
Le groupe Madar Holding n’est autre que l’ex-Société nationale des tabacs et allumettes (SNTA), qui a été créée le 4 novembre 1963. Elle a été transformée, en 1990, en entreprise publique économique, avant d’être restructurée en groupe et rebaptisée Madar Holding, en 2017.
La société opère, notamment dans la fabrication de cigarettes, de tabac à priser et à mâcher, ainsi que des filtres. Son patrimoine de production et de commercialisation et de soutien est représenté par treize unités, réparties à travers toute l’Algérie.
Le CRB, un des clubs les plus titrés en Algérie, est en proie à une crise aiguë depuis plusieurs saisons, ce qui a fini par se répercuter négativement sur ses résultats techniques.
Cela fait longtemps, en effet, que le Chabab se contente de jouer les seconds rôles, et cette année, la crise a atteint son paroxysme, au point où le CRB se retrouve tout bonnement lanterne-rouge de la Ligue 1 professionnelle et avec le sérieux risque de descendre en Ligue 2 à la fin de la saison en cours.
Mercredi, les membres de l’Assemblée générale du CSA/CRB, réunis en session extraordinaire, avaient déjà entériné la cession de 47% des actions au groupe Madar Holding, avant de décider durant le week-end de lui céder 20% supplémentaires pour devenir actionnaire majoritaire et prendre de ce fait le contrôle de la Société sportive par actions/CRB.
Le défenseur international algérien du FC Sion, Ayoub Abdellaoui, a retrouvé une place de titulaire à l’occasion de la 12e journée du Championnat suisse, qui a vu son équipe se déplacer samedi soir chez les Young Boys de Berne.
Longtemps blessé, l’ex-stoppeur de l’USM Alger était resté éloigné des terrains pendant près de deux mois.
Ce n’est que la semaine dernière qu’il avait repris les entraînements avec le reste du groupe, avant de se voir titularisé ce week-end.
Mais son retour à la compétition n’a pas été joyeux, puisque Sion s’est incliné (3-2) dans un match complètement fou, où il a commencé par mener (2-0) avant de se faire renverser en toute fin de rencontre.
Dans l’ensemble, et malgré la défaite, l’ancien joueur de l’USM Alger a réussi une assez belle prestation sur le plan individuel, y compris sur le plan offensif, puisqu’il a manqué de très peu d’inscrire un but à la 63′.
Une défaite assez lourde de conséquences pour Sion qui, après avoir bien démarré la saison, se trouve désormais dans la zone de relégation.
L’international algérien de l’OGC Nice Youcef Attal a déclaré forfait pour le déplacement de son équipe à Bordeaux pour affronter les Girondins dimanche à 16h00 en match comptant pour la 11e journée du championnat de France de Ligue 1, a indiqué le site du club azuréen.
Le latéral droit algérien souffre d’une lésion musculaire aux ischios jambiers, précise la même source.
La durée de l’indisponibilité de l’ancien joueur de Paradou n’a pas été indiqué par le staff technique qui espère récupérer la révélation de cette saison dans les plus brefs délais.
Sa participation au prochain match des Verts contre le Togo le 18 novembre prochain pour le compte de la 5e journée des éliminatoires de la CAN-2019 n’est pas remise en cause.
Buteur sur penalty lors de la précédente journée, l’international algérien de Dijon, Mehdi Abeid, a inscrit sa première réalisation de la saison dans le jeu, lors du match nul du DFCO ce samedi, sur la pelouse de l’AS Monaco (2-2), pour le compte la 11e journée de la Ligue 1 française.
Henrichs a ouvert le score pour l’ASM, d’une reprise puissante sur un centre de Barreca (29e). Alphonse remettra les pendules à l’heure pour le DFCO en remportant son duel face à Benaglio (1-1, 33e).
Le club bourguignon prendra l’avantage à la 57e minute de jeu grâce à Mehdi Abeid. L’international algérien inscrira son second but de la saison d’une frappe puissante à ras de terre déviée par Jemerson (1-2, 57e).
L’ancien joueur de Newcastle cédera sa place à vingt minutes du terme de la rencontre en se tenant la cuisse gauche. C’est finalement le Polonais Glik qui permet aux hommes de Thierry Henry d’arracher le point du match nul en égalisant de la tête sur un coup franc de Traoré (2-2, 78e).
Au classement, Dijon qui n’a plus gagner depuis le 25 août dernier occupe la 16e place avec 11 points, alors que l’ASM reste dans zone rouge avec 7 unités.
L’ES Ben Aknoun est le nouveau leader du groupe Centre de la Division nationale amateur à l’issue de la 8e journée disputée ce samedi.
L’Etoile qui a signé une troisième victoire de rang sur la pelouse de l’IB Khemis El Kehchena (2-1), profite du match nul à domicile du CRB Aïn Oussera face au CR Béni Thour (1-1) et la lourde défaite du NARB Réghaïa à Boumerdès (3-0), pour prendre les commandes du championnat.
Dans le bas du tableau, le WA Boufarik a décroché ses premiers points cette saison en disposant du WR M’sila 2-1.
Voici les résultats complets de cette 8e journée :
JS Hai Djabel – NRB Touggourt 1/1
RC Boumerdes – NARB Réghaia 3/0
IB Lakhdaria – RC Arba 1/0
CRB Ain Oussera – CR Beni Thour 1/1
WA Boufarik – WR M’sila 2/1
IBKEl Khechena – ES Ben Aknoun 1/2
AR Ouargla – USBeni Douala 0/1
NT Souf – ESM Kolea 1/0
L'attaquante internationale algérienne d'Al-Nassr FC, Lina Boussaha, s'est engagée avec Ittihad Djeddah jusqu'en 2028, a annoncé le club saoudien, jeudi dans un communiqué.
Boussaha (26...