Programme des rencontres de la 7e journée de la Division nationale amateur, dans les trois groupes Est, Centre et Ouest prévues ce week-end.
Groupe Est Vendredi à 15h00
AB Merouana – CA Batna
E Collo – US Tébessa
AB Chelghoum Laid – US Chaouia
CRB Ain Fekroun – HB Chelghoum Laid
USM Ain Beida – CRB Kais
USM Khenchela – CRB Ouled Djellal
AS Khroub – MO Constantine
JSD Jijel – CR Village Moussa
Groupe Ouest Vendredi à 15h00
IRB Maghnia – CRB Dar El Beida
Samedi à 15h00
SA Mohammadia – GC Mascara
MB Hassasna – CRB Ben Badis
RCB Oued Rhiou – US Remchi
USMM Hadjout – SKAF Khemis
OM Arzew – ASB Maghnia
JSM Tiaret – MB Oued Sly
IRB El Kerma – SCM Oran
Groupe Centre Vendredi à 15h00
CR Béni Thour – AR Ouargla
Samedi à 15h00
ESM Koléa – JS Hai Djabel
US Béni Douala – RC Boumerdès
ES Ben Aknoun – WA Boufarik
CRB Ain Oussera – IB Lakhdaria
RC Arbaa – IB Khemis Khechna
NARB Réghaia – WR M’Sila
NRB Touggourt – NT Souf
Les chocs ES Mostaganem – US Biskra, WA Tlemcen – USM Annaba et MC El Eulma – Amel Boussaâda, entre clubs du haut de tableau, seront à l’affiche de la 11e journée de Ligue 2, prévue ce week-end, et qui sera marquée également par la mission difficile qu’attend le leader, l’ASO Chlef, lors de son périlleux déplacement chez le mal classé, l’USM El Harrach.
Même si la totalité des duels inscrits au programme de cette 11e journée comportent un certain enjeu, ce sont probablement les chaudes empoignades entre les équipes du peloton de tête qui seront probablement les plus intéressants à suivre, surtout qu’elles pourraient générer d’importants changements dans le haut du classement.
Mais pas seulement, puisque l’USB, le WAT, le MCEE, l’ESM et l’USMAn, qui se placent actuellement entre la 2e et la 5e place du classement général, pourraient se rapprocher un peu plus du leader chélifien, surtout que ce dernier est susceptible de laisser des plumes lors de son déplacement à Mohammadia, où le mal classé USM El Harrach l’attendra probablement avec la ferme intention de gagner, pour s’éloigner de la zone rouge.
Un objectif qu’essayeront de viser les autres mal classés, USM Blida et RC Kouba, même si contrairement à l’USMH ils ne bénéficieront pas de l’avantage du terrain au cours de cette 11e journée. L’USMB (dernière) est en effet appelée à se rendre chez la JSM Skikda (13e), alors que le Raed se déplacera chez le RC Relizane (11e), mais avec la même intention de réussir un bon résultat, qui leur permettra peut-être de s’éloigner un peu de la zone rouge.
Là aussi les débats s’annoncent très chauds, car les différents antagonistes se tiennent actuellement dans un mouchoir de poche, faisant que l’issue des duels qui les opposeront ce week-end pourrait générer une certaine modification dans la hiérarchie du bas de tableau. Autrement dit, des confrontations directes pour le maintien, considérées comme étant des «matchs à six points» où le droit à l’erreur n’est pas permis, particulièrement pour les clubs hôtes.
Les deux autres rencontres inscrites au programme de cette 11e journée : NC Magra – ASM Oran et MC Saïda – JSM Béjaïa concernent des équipes de milieu de tableau. Mais celles-ci devront quand même faire attention, au risque de se retrouver en plein dans la zone de turbulences, car ne disposant pas d’une avance sécurisante par rapport aux actuels mal classés, qui donc pourraient facilement les rattraper. Tous les matchs sont prévus en présence du public suivant la programmation de la Ligue de football professionnel (LFP), car aucun des clubs hôtes n’est sanctionné d’un huis clos.
Programme Vendredi
USM Harrach – ASO Chlef à 15h00
JSM Skikda – USM Blida à 16h00
RC Relizane – RC Kouba à 16h00
MC El Eulma – A. Bou-Saâda à 17h45
Samedi
NC Magra – ASM Oran à 15h00
MC Saïda – JSM béjaïa à à 16h00
ES Mostaganem – US Biskra à 16h00
WA Tlemcen – USM Annaba à 17h45
La 11e journée du championnat de Ligue 1, prévue du vendredi à mardi, sera marquée par le derby algérois des extrêmes entre le NA Hussein-Dey et le CR Belouizdad, alors que le co-leader la JS Kabylie se rendra à Oran pour défier le MCO dans une affiche qui promet beaucoup.
Seule équipe invaincue jusque-là, la JSK, qui partage le fauteuil de leader avec l’USM Alger (22 pts), aura à cœur de préserver cette dynamique à l’occasion de son périlleux déplacement du côté de l’Ouest. Le MC Oran (9e, 12 pts) tentera de son côté de se racheter après sa défaite à domicile face à l’ES Sétif (1-0).
Les «Canaris» seront certainement mis à rude épreuve face à des Oranais, dont le moindre faux-pas serait fatal pour les coéquipiers de Youcef Chibane . Le NAHD (4e, 16 pts), battu lors de la précédente journée par le MC Alger (2-1), enchaînera avec un autre derby, cette fois-ci face à son voisin et lanterne rouge le CR Belouizdad (16e, 3 pts).
Les deux formations algéroises aborderont ce rendez-vous avec des objectifs diamétralement opposés. Si le Nasria aspire à effacer la déconvenue face au Doyen et surtout retrouver le podium, le Chabab n’aura plus droit à l’erreur s’il veut amorcer sa mission de sauvetage, qui s’annonce compliquée.
Le MC Alger (5e, 15 pts), qui commence à retrouver des couleurs en décrochant 7 points sur 9 possibles lors des trois derniers matchs, sera en appel à Bordj pour défier le CABBA (10e, 11 pts), dont les résultats à domicile ne plaident pas en sa faveur. Cette rencontre sera une occasion pour le portier du CABBA Faouzi Chaouchi pour retrouver son ancienne équipe avec laquelle il avait passé quatre saisons (2014-2018).
La JS Saoura (6e, 14 pts) sur une courbe ascendante, partira à priori favorite dans son chaudron du 20-août 1955 de Béchar face au Paradou AC (13e, 9 pts), battu lors des trois dernières journées. Le CS Constantine (7e, 13 pts), auteur d’un point seulement en trois matchs, aura une belle occasion de s’offrir un bol d’air à l’occasion de la réception de l’Olympique Médéa (10, 11 pts).
Il s’agit du dernier match pour l’entraineur Abdelkader Amrani sur le banc du CSC, lui qui a annoncé mardi son départ, au lendemain de la défaite concédée à Alger face au MCA (2-1). Le MO Béjaia (7e, 13 pts), corrigé lundi en déplacement face à l’USM Alger (5-1), tentera d’avoir un sursaut d’orgueil devant son public face à l’AS Ain M’lila (10e, 11 pts), dont le dernier succès remonte à la 2e journée face à l’ES Sétif (1-0).
Le match DRB Tadjenanet – USM Bel-Abbès, opposant deux relégables, a été décalé à mardi prochain, alors que le dernier rendez-vous de cette 11e journée USM Alger – ES Sétif se jouera le 29 novembre. Outre le déroulement de la 11e journée, la LFP a programmé également le match USMBA – USMA vendredi (17h45) comptant pour la mise à jour de la 6e journée. Un succès ou un match nul des Algérois leur permettrait de s’emparer de la tête du classement.
Programme des rencontres
Vendredi 19 octobre :
Alger (5-juillet) : NA Husseïn-Dey – CR Belouizdad (17h00)
Oran (Zabana) : MC Oran – JS Kabylie (17h45)
Béchar : JS Saoura – Paradou AC (19h00)
Samedi 20 octobre :
Constantine : CS Constantine – Olympique Médéa (17h00)
Béjaia : MO Béjaia – AS Ain M’lila (17h45)
Bordj CABB Arreridj – MC Alger (17h45)
Le président de l’US Biskra, Farès Benaissa, a écopé d’une suspension de six mois, dont trois avec sursis, pour tentative d’agression envers officiel de match. La sanction a été infligée mercredi par la commission de discipline de la ligue de football professionnel (LFP).
Les faits reprochés au président de l’USB remontent au 13 octobre dernier à l’occasion de la rencontre US Biskra – MC Saida, comptant pour la 10e journée de la Ligue 2, soldée sur un score nul (1-1).
Selon la même source, Benaissa a été sanctionné « pour tentative d’agression envers officiel de match. Il a été signalé sur la feuille de match et le rapport de délégué pour avoir eu un mauvais comportement envers l’arbitre directeur devant les vestiaires », lit-on sur le site de la LFP.
Outre la suspension de six mois, dont 3 avec sursis, le patron de l’USB devra également s’acquitter d’une une amende financière de 80 000 DA.
La réception du nouveau stade de Baraki, prévue fin décembre 2018, « pourrait se faire finalement au mois de janvier 2019 », a annoncé mardi à Alger le ministre de la Jeunesse et des Sports, au terme d’une visite d’inspection sur le chantier.
« Le projet a été lancé il y a 14 ans, et après un tel retard, nous espérons tous le voir s’achever le plus tôt possible. Nous avons mobilisé tous les moyens humains et matériels nécessaires pour que le projet soit livré fin décembre 2018, mais si la réalisation d’un meilleur travail exige un peu plus de temps, alors il n’y a pas de problème, pour peu que cet ajournement n’aille pas au-delà de janvier 2019 », a déclaré le ministre, accompagné de l’ambassadeur de Chine en Algérie.
Lancé en 2004, le projet du nouveau stade de Baraki, d’une capacité de 40.000 places assises, a connu une longue période d’arrêt. Les travaux n’ont repris qu’en 2009 et malgré la mobilisation d’importants moyens humains et financiers, leur taux d’avancement n’a atteint que 86%.
Une progression qui, cependant, ne concerne que les gros-œuvres, car les travaux destinés au drainage du terrain ainsi qu’à la pose de la pelouse et des sièges n’ont pas encore démarré.
« Si nous avons pris un peu de retard, c’est par souci d’effectuer un bon travail », a indiqué Nazim Ghanem, le Directeur général adjoint de l’entreprise China Railway Construction Engineering Group qui se charge de réaliser le projet.
« Nous avons considéré qu’il était primordial de bien finir le gros-œuvre avant de passer à autre chose, car nous tenons à réaliser un produit de qualité qui répondra aux attentes », a ajouté M. Ghanem, assurant que les travaux en cours ont considérablement avancé », faisant que « l’entreprise pourra bientôt passer à d’autres étapes du projet ».
Parmi les nouveaux chantiers qui seront lancés pendant « les trois ou quatre prochaines semaines », les travaux de drainage, qui précéderont la pose de la pelouse et des autres équipements.
« Nous voulons un stade moderne qui répond aux normes de sécurité, tout en procurant aux spectateurs le confort dont ils ont besoin, à travers notamment la présence de certaines commodités, comme les buvettes et l’accès au réseau internet. Si cela nécessite un peu plus de temps que prévu, l’Etat algérien n’y voit pas d’inconvénient », a adhéré le ministre.
L’entraîneur français d’AlAhly du Caire, Patrice Carteron, a relevé la nécessité de « bien gérer la pression » lors du match retour face à l’ES Sétif le 23 octobre au stade du 8- Mai-1945 (20h00) dans le cadre des demi-finales (retour) de la Ligue des champions d’Afrique de football.
« L’ES Sétif est une équipe qui a une grande popularité et qui a plusieurs milliers de fans. J’ai eu déjà une expérience face à cette équipe lorsque je dirigeais le TP Mazembe. Il y aura beaucoup de monde au stade. On doit bien gérer cette pression », a-t-il indiqué, cité mercredi par les médias locaux.
Lors de la première manche, le club égyptien s’est imposé sur le score de 2 à 0. Un avantage qui ne rassure pas outre mesure Carteron, estimant que la qualification n’est pas encore validée.
« On aura deux buts d’avance, mais on n’est pas encore qualifiés. C’est vrai que nous allons à Sétif avec un avantage, mais j’estime que nous devons sortir le grand jeu pour repartir avec la qualification ».
Carteron a dit rêver de gagner la Ligue des champions, après l’avoir fait avec les Corbeaux du TP Mazembe en 2015 aux dépens de l’USM Alger (aller : 2-1, retour 2-0).
« Comme je l’ai maintes fois dit, mon rêve, c’est de gagner une Ligue des champions avec Al-Ahly après l’avoir gagnée avec le TP Mazembe », a-t-il conclu.
L’entraineur Si Tahar Cherif El Ouezzani, pressenti en force pour revenir sur le banc de l’USM Bel Abbès, exige la régularisation de ses arriérés au titre de l’exercice passé pour officialiser son «come-back», a déclaré une source proche du technicien à l’APS.
Cherif El Ouezzani, qui a résilié récemment son contrat avec le CR Belouizdad, le club de Ligue 1 qu’il a dirigé depuis cet été, a tout conclu avec les dirigeants de l’USMBA, sauf qu’il a conditionné son retour par le virement dans son compte bancaire de pas moins de dix mensualités non perçues lors de l’exercice écoulé, a précisé une source.
Le champion d’Afrique avec la sélection algérienne en 1990 avait coaché l’USMBA au cours des deux précédentes saisons, un parcours ponctué par un trophée de la Coupe d’Algérie remporté en mai passé contre la JS Kabylie, et ce, pour la deuxième fois dans l’histoire du club.
Mais l’ex-président de l’USMBA, Okacha Hasnaoui, n’a pas jugé utile de renouveler le contrat de l’enfant d’Oran lui préférant le suisso-tunisien, Moez Bouakaz, avec lequel les résultats n’ont pas suivi depuis le début du championnat de Ligue 1 cette saison. Cette situation a poussé le successeur de Hasnaoui, en l’occurrence, Abdelghani Hennani, de mettre fin aux fonctions du coach dont la résiliation du contrat a été effectuée lundi.
Du coup, la formation de la «Mekerra» se retrouve sans entraineur principal au moment où l’équipe traverse une conjoncture délicate comme l’atteste sa 15e et avant dernière place au classement avec six points même si elle compte un match en moins à livrer face au co-leader actuel, l’USM Alger.
C’est une situation inédite qu’est en train de vivre le MCA qui n’a pas réussi à engager un nouvel entraineur après près de deux mois du limogeage de son ex-coach, le Français, Bernard Casoni.
Tout le monde au club s’interroge d’ailleurs si les coachs fuient le vieux club de la capitale, alors que par le passé les techniciens se bousculent au portillon pour y travailler. Pourtant, après l’intervention du PDG de Sonatrach, l’actionnaire majoritaire du Doyen, pour convaincre l’entraineur français, Rolland Courbis, de prendre en main la barre technique des Vert et Rouge, on a pensé que ce dossier allait être clos.
Cependant, après trois semaines de tergiversations, l’ancien coach de l’USMA a décidé de décliner l’offre mouloudéenne.
Les raisons, selon nos informations, n’ont rien à voir avec l’aspect financier.
C’est plutôt à cause d’un différend avec le directeur sportif Kaci-Said lors d’une conversation téléphonique à la fin de la journée de dimanche relatif au prorogatives de chacun qui a fait capoter l’arrivée de Courbis.
Au départ, Rolland Courbis a tout conclu sur le plan financier avec le P-DG de Sonatrach, mais ça a coincé seulement avec son employeur RMC puisque l’intéressé est lié à cette boîte pour une durée de quatre ans avec une clause libératoire de 400.000 euros.
Une source nous a révélé que Kaci Saïd a parlé avec son agent et ce dernier lui a promis que Rolland sera dans le premier vol en direction d’Alger dans la journée de dimanche, mais le jour j arrive sans que le technicien français ne donner signe de vie dans la capitale. La direction mouloudéenne a alors compris qu’il faudra désormais tourner la page et se remettre à la recherche d’un nouveau coach.
Celui-ci pourrait bien être l’ex-sélectionneur de Libye, Adel Amrouche. Ce dernier et son manager devaient négocier hier soir la probable venue du technicien pour prendre les rênes techniques du MCA.
La réunion d’hier avait pour objectif de discuter argent, bien sûr, mais aussi du staff. Car, il ne faut pas oublier qu’Adel Amrouche a décidé de quitter son poste de sélectionneur en Libye en solidarité avec ses adjoints algériens, Lamine Kebir, Mourad Slatni et Réda Acimi. On imagine mal qu’il viendra au MCA sans son staff.
Si Kaci-Saïd accepte, il y a lieu de se demander quel serait l’avenir du staff actuel. En tous les cas, le directeur sportif mouloudéen veut en finir avec cette affaire d’entraîneur. Dans la soirée d’hier, il devait tout régler avec Adel Amrouche pour que ce dernier entame sa mission à la tête de la barre technique du MCA.
On ne le dira jamais assez : la sélection algérienne est devenue, au fil des dernières années, impuissante quand il s’agit de se produire en Afrique subsaharienne. Une réalité que l’entraineur national, Djamel Belmadi, vient de la vérifier à ses dépens à l’occasion de ce déplacement au Bénin.
«Ça fait déjà plus de deux années que notre équipe nationale n’a pas gagné en Afrique. Ça devient un véritable souci. Il y a bien un problème et qu’on doit résoudre. Je sais que le contexte est très difficile, mais il faudra être plus costauds à l’avenir», a-t-il confié en conférence de presse d’après match.
En effet, après un très honorable Mondial-2014 au cours duquel la nouvelle génération de l’équipe nationale a enregistré une ascension fulgurante parvenant à se qualifier en huitièmes de finale pour la première fois dans l’histoire du football algérien, voilà que les Verts régressent d’une manière inquiétante, et cela dure même dans le temps.
La preuve, ils n’arrivent plus à l’emporter même face à des modestes équipes africaines. La dernière victoire à l’extérieur des Fennecs remonte à juin 2016 au Seychelles. A l’époque, l’équipe nationale était dirigée par Farid Neghiz qui a pris le relais de Christian Gourcuff qui venait de démissionner quelques semaines auparavant.
Pour revenir un peu en arrière, soit au début de la traversée du désert, on peut rappeler d’abord les qualifications de la CAN-2015, l’équipe algérienne, versée dans un groupe à sa portée, a laissé des plumes face à la seule équipe de valeur dans sa poule, en l’occurrence le Mali.
Lors de la phase finale, elle va tomber, au cours du premier tour face au Ghana, avant de quitter l’épreuve en quarts de finale contre la Côte d’Ivoire. Deux gros bras du continent auxquels les Algériens n’ont pas résisté.
Les éliminatoires de la CAN-2017 furent une simple formalité pour le ‘’Club Algérie’’. C’est en toute logique donc que la sélection nationale passe sans encombre au rendez-vous gabonais. Même le tour préliminaire du Mondial-2018 a été clément avec les Fennecs qui n’ont fait qu’une bouchée de la Tanzanie, malgré les pires difficultés qu’ils ont rencontrées lors du match aller à Dar Essalam.
Mais les choses sérieuses ont commencé dès le début de la phase de poules des qualifications du Mondial. Déjà, les choses se présentaient sous de mauvais auspices, après avoir hérité du groupe de la mort.
Cela s’est vérifié d’entrée contre le Cameroun qui a obligé les Verts au partage des points à Blida même, soit la citadelle préférée de l’équipe nationale.
Et puis vint ce match en déplacement au Nigeria, un rendez-vous censé être celui du rachat. Mais au grand malheur des protégés de Leekens, ils ont laissé passer une aubaine pour au moins revenir avec un nul.
Ce fut également la première défaite des Verts en dix matchs officiels. La dernière remonte aux quarts de finale de la CAN-2015 face à la Côte d’Ivoire, un autre gros bras du continent.
C’est à croire que c’est devenu très compliqué pour la sélection algérienne de venir à bout des grandes équipes continentales. Une raison supplémentaire de penser que désormais tout est à refaire.
On se rappelle dans ce contexte des propos de l’ex- capitaine d’équipe, Carl Medjani, qui avait reconnu avec des termes à peines voilés que les Verts sont devenus fébriles à l’extérieur.
«On se rend compte que beaucoup de travail reste encore à faire. Quand on ne gagne pas face à des modestes équipes africaines, ça veut dire tout simplement qu’on n’est loin d’être les meilleurs», a-t-il dit. Cela devra suffire pour que Mahrez et les autres de se remettre en question.
L’entraineur Badou Zaki a officiellement résilié son contrat avec le MC Oran permettant à son successeur Omar Belatoui d’être sur le banc dès la prochaine rencontre face à la JS Kabylie, vendredi à Oran.
L’émissaire du président du MCO, Ahmed Belhadj, qui s’est déplacé au Maroc, a récupéré le document officiel de la résiliation du contrat, en application à l’accord conclu entre les deux parties il y a quelques jours, assure-t-on de même source.
Le boss oranais et le technicien marocain s’étaient entendus à résilier à l’amiable le contrat liant les deux parties depuis l’été dernier. Cette décision a été prise après que le coach soit rentré chez lui au Maroc, il y a de cela plus d’un mois.
Badou Zaki s’est engagé à ce propos à restituer la moitié de son quatrième salaire, lui qui avait perçu une avance de quatre mensualités dès qu’il a entamé son travail au MCO début juillet passé, rappelle-t-on.
Sous la houlette de l’ancien sélectionneur des Lions de l’Atlas, les «Hamraoua» n’ont collecté que deux points en quatre matchs. Badou Zaki est rentré chez lui après la défaite sur le terrain de l’USM Bel Abbès (3-1) dans le cadre de la 4e journée, mais sans pour autant démissionner.
Il s’est contenté par la suite d’envoyer deux certificats de maladie consécutifs pour le compte des mois de septembre et octobre, mettant dans l’embarras la direction oranaise.
La direction du MCO déposera dans les prochaines heures, au niveau de la Ligue du football professionnel (LFP), le dossier du nouvel entraineur, Belatoui, afin de lui permettre de diriger son équipe du banc de touche vendredi lors de l’affiche de la 11e journée face à la JSK, co-leader du championnat, un match que la LFP compte avancer à 17h00 au lieu de 17h45, indique-t-on de même source.
La société "Hyproc Shipping Company", actionnaire majoritaire du MC Oran, a annoncé ce mercredi la nomination d’un nouveau Conseil d’administration, à l’issue d’une assemblée...
