La Fédération internationale de football (FIFA) a choisi la capitale qatarie, Doha, pour accueillir la Coupe arabe dans sa deuxième édition, avec la participation de 16 équipes. Elle est prévue pour l’année prochaine 2023.
Ce choix porté sur le Qatar est motivé par le manque de temps et la disponibilité totale de ce pays pour abriter le rendez-vous arabe, vu qu’il vient d’organiser avec succès la Coupe du monde, tout en ayant réussi aussi à accueillir la première édition de cette même Coupe arabe.
En effet, pour une première, cette épreuve a connu, l’année dernière, un franc succès à tous les niveaux. Le Qatar ayant largement réussi à accueillir la nouvelle compétition arabe, ce qui a poussé le président de la FIFA, Gianni Infantino, à annoncer que l’épreuve, reconnue désormais par son instance, va se tenir tous les deux ans.
À ce propos, la FIFA a fixé au 30 novembre la date du début de la prochaine édition de la Coupe arabe, alors que la finale est programmée pour le 18 décembre, avec la participation de 16 équipes, exactement comme ce fut le cas lors de l’édition de 2021.
Cette dernière, rappelle-t-on, a vu la distinction de l’équipe nationale algérienne qui a battu en finale la Tunisie par deux buts à zéro, s’offrant le trophée en plus d’une prime mirobolante de l’ordre de 5 millions de dollars.
Il faut dire que cette première édition a connu notamment un franc succès populaire, parvenant à susciter un intérêt spécial de la part des amateurs de la balle ronde qui n’a rien à envier à celui de la Coupe du monde, selon les observateurs.
Ce sera aussi une aubaine pour la sélection algérienne pour défendre son titre, et ce, dans la foulée du processus de renouvellement de son effectif que compte lancer l’entraîneur national Djamel Belmadi dès mars prochain dans l’optique de revenir au-devant de la scène après une année 2022 tout simplement ratée.
