Pour lever l’interdiction de recrutement infligée par la FIFA : La JS Kabylie doit débourser des milliards
La nouvelle direction de la JS Kabylie est dans une situation embarrassante. En cause, l’épineux problème des dettes accumulées dans des transactions de recrutement effectuées par ses prédécesseurs.
Évidemment, les clubs et les joueurs ‘’lésés’’ n’ont pas hésité à saisir la première instance footballistique mondiale, en l’occurrence la FIFA pour qu’ils soient rétablis dans leurs droits. Cette dernière vient d’ailleurs de trancher sur les plaintes formulées par les ‘’victimes’’, en décidant d’interdire le club algérien, passé sous la bannière de l’opérateur public de la téléphonie mobile à savoir, Mobilis, il y a quelques semaines, de tout recrutement au cours de la prochaine période des transferts.
Une sanction qui refroidit bien sûr les ambitions de la nouvelle direction kabyle, déterminée à monter une ‘’grande équipe’’ dès l’exercice à venir et faire oublier les déboires de ‘’Canaris’’ cette saison où ils ne se sont pas encore tirés d’affaires dans la lutte pour le maintien en Ligue 1.
De source bien informée, on apprend d’ailleurs que Mobilis a décidé de prendre le taureau par les cornes en clôturant une fois pour toutes le dossier des dettes.
Dans cette optique, la direction kabyle a pris hier attache avec l’avocat tunisien du joueur malien Doumbia et du Club africain, qui attend toujours d’encaisser les indemnités du transfert de son ex-joueur algérien Zerdoum vers la JSK, afin de régler les litiges définitivement.
L’avocat en question en a profité pour préciser à son interlocuteur de la JSK que d’autres affaires ne sont également pas réglées, dont les concernés détiennent tous des verdicts en leur faveur de la part de la FIFA. Il s’agit des joueurs Boumechra, Ali Haroun, Mouaki, et Bencherifa.
Les deux parties ont convenu donc de procéder à un état complet des contentieux et de les régler au plus vite afin de lever l’interdiction de recrutement FIFA infligée à la JSK.
