Quelques semaines après l’entrée en vigueur de son nouveau contrat qui s’étale jusqu’en 2026, l’entraineur national, Djamel Belmadi, se retrouve au Centre de plusieurs polémiques, au point de l’agacer au plus haut point.
Il ne se passe pas d’ailleurs un jour sans que le nom de Belmadi ne soit cité dans telle ou telle affaire liée à la scène footballistique nationale.
La dernière en date, la fermeture du centre technique de Sidi Moussa devant la sélection nationale des moins de 17 ans qui prépare la CAN de sa catégorie, prévue en avril prochain en Algérie. Cette fermeture, qui a obligé le coach national, Arezki Remane, à changer le lieu du regroupement en le délocalisant à Rouiba.
Ce n’est pas que ça, puisque le nom de Belmadi a été dans le recrutement par la FAF d’un entraineur pour la sélection nationale féminine. Le fait que le choix s’est porté sur un technicien franco-algérien a même conforté la rumeur et l’a attisé davantage.
Même pour le transfert de trois pépites du Paradou AC et le supposé projet de les naturaliser à l’avenir, le coach national a été pointé du doigt, juste parce qu’il très proche du patron du PAC, qui n’est autre que l’ancien président de la FAF, Kheïreddine Zetchi, qui était derrière l’engagement de Belmadi aux commandes techniques de l’équipe nationale en 2018.
Face à toutes ces accusations et autres, Belmadi a fini par sortir de ses gonds et monter au créneau, en confiant à son entourage qu’il en a marre d’entendre à chaque fois des accusations gratuites à son encontre, et son nom cité ici et là.
Il a, en outre, tenu à adresser un message à ceux qui colportent les rumeurs à son sujet que sa principale mission dans le football algérien étant de remettre la sélection algérienne sur rails après ses déconvenues de l’année 2022.
Il s’agit là d’ailleurs de la principale motivation qui l’a incité à prolonger son contrat alors qu’il avait songé à un certain moment à tout lâcher, et ce, sous le coup notamment de la déception de l’amère élimination dans les barrages du Mondial-2022.
